28 septembre, 2007

Annecy Nostalgy (4)

Derniers jours au Festival international du film d'animation d' Annecy, cette année là.
On termine donc sur des croquis d'une terrasse de Restaurant, premier restau à midi, après 5 jours passés sans interruptions ou presque, telles des taupes cinéphiles, dans le noir.







24 septembre, 2007

Annecy Nostalgy (3)

Histoires dans le noir, suite ...

files d'attentes, projections, titres qui se mélangent dans la tête, les jours se suivent et se ressemblent parfois, a Annecy.









19 septembre, 2007

Annecy Nostalgy (2)

Suite du voyage dans le temps, avec une révélation sur les obsessions maniaco-vestimentaires d'Erwan.

A propos des films de cette année, Il a d'ailleurs raison d'évoquer Harvie Krumpet, et les films d'Adam Benjamin Eliot.
Je l'avais découvert l'année précédente avec Brother, qui m'avait tiré des larmes.

Je montrais justement ma vieille VHS de ce fim à des amis, pour apporter un argument définitif à une discussion sur les qualités relatives de Persepolis.

Et je disais donc que sur le mode du récit autobiographique animé et en noir et blanc, sur un ton tragi-comique, Marjane Satrapi n'atteignait jamais la force de Eliot. La faute, à mon avis, à un sens du rythme absent chez l'une et parfait chez l'autre.
Voir comment dans Brother, Eliot utilise les silences qui scandent le récit de la voix of, et en contrepoint, laisse durer toujours un peu trop les plans. Il créer ainsi un rythme syncopé, très prenant. Même principe avec l'animation. Quasiment immobiles, les personnages bougent par sacades, comme s'ils étaient des acteurs de roman photo filmés pendant qu'il prennent successivement les attitudes attendues du photographe. Et malgrè ces procédés à priori peu propices au mélodrame, on est muet d'émotion chaque fois que le générique de fin tombe.

Si vous croyez qu'on ne peut pas être boulversé par un dessin animé, voyez ceux de Adam Eliot !





18 septembre, 2007

Annecy Nostalgy (1)

En visitant le blog de mon ami Erwan j'ai redécouvert, les larmes aux yeux, le récit de nos aventures, au temps de l'innocence, il y a de cela des siècles et quatre ans.
Il a même gentiment mis un lien qui vous aura peut-être mené ici-même. Pour ne pas vous ouvrir la porte et vous voir déçu, la mine déconfite et en robe de chambre, sans rien à vous offrir, je dépose les pages de mon carnet, réalisés aux mêmes endroits, aux mêmes moments... hélas pas avec la même adresse. Quoi qu'il en soit, Annecy 2003, premier épisode.