11 novembre, 2007

carnet (5)

Cet été, régulièrement, un habitant de la place des orphelins venait s'asseoir, pieds nus, sur un banc du parc. Dans le silence alangui du milieu de l'après-midi, il jouait de sa flûte.





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2 commentaires:

Anonyme a dit…

"ah oui je me souviens...
il y avait aussi des pigeons !"
Antoine ...

le chef de gare a dit…

c'est vrai. Ils tournent en rond.