13 septembre, 2010

Persée-14

La conclusion de "Persée et Méduse", bien que je ne crois pas avoir posté toutes les autres pages.
Ici, pour les futurs historiens de l'art, on est à la quintessence de mon style: Personnages mal foutus et rapports d'échelles aussi fluctuants qu'irréalistes. J'espère que les connaissaeurs apprécieront également les traits marquant les muscles, aussi affirmés que faux, un peu comme ce petit garçon qui vous demande sans ciller "mais qu'est ce que vous disez ?" C'est vrai, mais qu'est ce que je disez ? Enjoy !



2 commentaires:

le chef de gare a dit…

c'est vrai. Au départ, j'avais en tête une fin plus solennelle, mais le scénariste tenait à la sienne, il avait de bons arguments, voilà. Oups !

le chef de gare a dit…

je ne sais pas si c'est sévère, mais c'est comme un complexe que tu continues de te trainer et dont tu finis par rire. Je suis d'accord avec toi, et en même temps, j'aimerai bien, souvent, être le genre de gars qui peut dessiner un type de trois quart arrière en train en contre plongée de lancer un javelot, en pensant à sa liste de course.
Mais souvent pensé aussi qu'à un moment il fallait accepter ses défaut et laisser parler un peu son instinct. Qu'il soit anatomiquement correct ou pas....